Joe Basianga, l’ultime sacrifice
Inspirée de la saga James Bond mais aussi la série américaine 24H Chrono, cette fiction policière à rebondissement, mêlant espionnage et humour grinçant, relate l'itinéraire d'un ex-tueur à gages de la CIA doté d'un pouvoir hors du commun, formé et endoctriné par deux experts en art martiaux. Leur but commun est d'anéantir la Francafrique Version PAPIER ISBN : 978-1096287537 Pages : 540 Version EBOOK : 4,99€ Auteur Dernier né d’une famille de trois enfants, j’ai vu le jour le 23 décembre 1967 à L’Haÿ-Les-Roses dans le Val-de-Marne en France. Enfant d’un couple de diplomates africains, j’ai très tôt été amené à voyager et plus particulièrement en Afrique.... (cliquez sur son nom pour en savoir plus : interview, réseaux sociaux, autres livres, contact...)
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Les chroniques sur le livre
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Je remercie Simplement Pro ainsi que l'auteur et Wibibook, pour l'envoi de l'ouvrage.
Patrick Armmerding nous plonge dans un récit d'espionnage où Joe Basianga, un ex-tueur à gage de la CIA nous entraîne dans une quête peu ordinaire.
Rescapé du massacre de ses parents, il a été recueilli par son oncle et sa tante. Nous suivons son initiation dans des flashs back de son passé ainsi que son désir de vengeance pour les siens. De son défunt père, il a hérité une dévotion quasi-totale à James Bond et aime à la moindre occasion refaire des scènes de ses films culte. Au point de se présenter à sa manière :
« Je m’appelle Basianga. Joe Basianga »
La trame est bien menée même si parfois cela manque un peu de transitions entres ses retours en arrière et les moments présents.
« L’ultime sacrifice » n’est pas à mettre entre toutes les mains. Il y a des scènes de violence avec de la torture et de l’hémoglobine, un peu d’érotisme aussi. Ce qui restreint à mon sens le lectorat aux lecteurs d’au moins 16 ans.
Le pouvoir particulier de Joe (à vous de découvrir lequel) est e revanche très intéressant. J’ai beaucoup apprécié le côté spirituel aussi.
Si Joe au départ est un gentil garçon qui veut bien faire, on le voit glisser sur des chemins très sombres où il peut tabasser une femme de sang-froid, abuser d’elle (manipulée, Olga n’a aucuns souvenirs des rapports avec lui) ou même faire exploser tout un commando armé (certes de djihadistes) sans ciller. Il est un peu dépeint comme un homme tout puissant (surtout avec son pouvoir) capable de tout. Pour autant n’a-t-il réellement aucune conscience, ni aucun sentiment ? Sans doute Ayélé parviendra-t-elle à le ramener à son humanité… à vous de le découvrir.
La fin qui appelle au deuxième tome le laisse dans une position périlleuse. S’en sortira-t-il ? Il faudra le découvrir dans le prochain tome.
Les bémols :
Les références un peu trop répétitives à James Bond casse parfois la lecture. Cela peut agacer les lecteurs « non accro », et même pour ceux qui connaissent et aiment bien, le surplus de références peut entrainer une saturation.
Joe Basianga peut apparaître aux yeux de certains comme un bel homme puissant, qui sait tout faire, se sort toujours des situations les plus compliquées, qui peut se permettre d’assouvir les désirs de ses dames, la précision de ses 30 centimètres n’a, à mon sens, rien à faire dans un roman d’espionnage, même si l’érotisme ne me dérange pas le moins du monde.
En bref : un premier tome surprenant qui ne laisse pas indifférent.
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